Vogue les bourses

Publié le par laurent fournier

Waouh !!!

Je viens d’enculer un boursier.

De la plus haute importance.

Le fait.

Sans l’ombre d’une vilénie.

Sans l’once d’une préméditation.

Je l’ai simplement enculé parce qu’il ramassait un billet.

Un billet de 20 euros. Qui trainait. Un peu trop.

Crise faisant foi. Il s’est dit qu’un billet c’était de l’argent.

Qu’avec ça on pouvait en faire quelque chose. Qu’avec ça on pouvait s’acheter quelque chose, un sandwich, se faire tailler une bonne pipe ou tout bonnement offrir un cadeau.

Et pourquoi pas S’offrir un cadeau !

C’est ainsi qu’il s’est baissé, et que je l’ai baisé.

D’un pas en avant j’ai senti la chose …un peu trop.

Non que ma verge m’est faite défaut. Rien de cela. Elle a fourré ce qu’ìl faut.

Non que mes bourses étaient au bord du dépôt. Rien de tel. Elles sont garanties plein pot.

Mais aussi incroyable que cela puisse paraitre ce trou du cul sentait le trou de la sécu.

Il suintait le déficit.

Ma verge se félicite d’avoir triqué Le pauvre type.

D’un coup de bite, j’ai poussé la merde au fond. A fond. C’est fou ce qu’il y en avait.

J’ai enfoncé à coups de reins le surplus spéculatif, et comblé d’un peu de rien la bulle affaire.

J’ai défoncé quelques chiffres dans le pli d’un rectum, aboli quelques us et coutumes dans les replis d’un anus.

 

Alors soyons fous, et que Folle les billets …

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